La nébuleuse de la Tarentule dévoile son cortège d’astres et de nuages Plongez dans la nébuleuse de la Tarentule, immense chaudron tapissé de gaz et de poussière dans le creux duquel bouillonne des étoiles très massives. Près de là, tout autour, dans les filaments les plus sombres, des centaines de bébés étoiles vont déchirer leurs cocons de gaz. 30 Doradus (c’est son autre nom) est l’une des régions les plus actives de notre amas de galaxies.
Pour mieux comprendre la naissance des étoiles les astrophysiciens peuvent utiliser le réseau de radiotélescopes Alma en complément d’autres instruments. Ils se penchent régulièrement sur le cas de la pouponnière de jeunes étoiles de 30 Doradus, aussi connue sous le nom de la nébuleuse de la Tarentule. L’ESO présente aujourd’hui de nouvelles observations à haute résolution couvrant une grande région de la nébuleuse. Alma, en mesurant le rayonnement provenant des molécules du gaz de monoxyde de carbone présent dans la nébuleuse, leur a permis de cartographier ses grands nuages de gaz froid qui s’effondrent pour donner naissance à de nouvelles étoiles.
Un laboratoire pour comprendre la naissance des premières étoiles de 150 masses solaires
Les astrophysiciens étudient la nébuleuse de la Tarentule à diverses longueurs d’onde et avec des instruments aussi divers que Hubble, le Very Large Telescope (VLT) de l’ESO dans le visible, Alma (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array) dans le domaine des ondes radio ou encore avec l’Infrared Survey Telescope for Astronomy (Vista) dans l’infrarouge, également de l’ESO.
De combinaisons d’images de plus en plus détaillées et les articles allant avec, analysant ces images, sont périodiquement mis sur le devant de la scène comme l’image haute résolution publiée aujourd’hui par l’Observatoire européen austral (ESO) et comprenant des données d’Alma tout en accompagnant un article dans The Astrophysical Journal que l’on peut consulter en accès libre sur arXiv .
Un laboratoire pour comprendre la naissance des premières étoiles de 150 masses solaires
Les astrophysiciens étudient la nébuleuse de la Tarentule à diverses longueurs d’onde et avec des instruments aussi divers que Hubble, le Very Large Telescope (VLT) de l’ESO dans le visible, Alma (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array) dans le domaine des ondes radio ou encore avec l’Infrared Survey Telescope for Astronomy (Vista) dans l’infrarouge, également de l’ESO.
De combinaisons d’images de plus en plus détaillées et les articles allant avec, analysant ces images, sont périodiquement mis sur le devant de la scène comme l’image haute résolution publiée aujourd’hui par l’Observatoire européen austral (ESO) et comprenant des données d’Alma tout en accompagnant un article dans The Astrophysical Journal que l’on peut consulter en accès libre sur arXiv .
Dans le communiqué de l’ESO qui accompagne la publication, Guido De Marchi, chercheur à l’Agence spatiale européenne (ESA) et coauteur de l’article explique que « ce qui rend 30 Doradus unique, c’est qu’elle est suffisamment proche pour que nous puissions étudier en détail la façon dont les étoiles se forment, et ses propriétés sont similaires à celles que l’on trouve dans des galaxies très lointaines, lorsque l’Univers était jeune. Grâce à 30 Doradus, nous pouvons étudier comment les étoiles se formaient il y a 10 milliards d’années, lorsque la plupart des étoiles sont nées ».